The Crazies (G. A. Romero, 1973)



Alors là lecteur, me voilà bien emmerdée pour rédiger la chronique sur le films sus-dit, tout simplement parce que j'ai un avis relativement négatif sur un film qui a pourtant fait l'unanimité. Mais comme j'assume mes opinions et que je suis une punk (trop rebelle de la life quoi) je fais quand même péter la sauce.


C'est l'histoire d'une ville où c'est le gros bordel, alors l'armée se pointe et la met en quarantaine à cause de la propagation d'un virus qui rend les gens complètement ravagés du bulbe (dans tous les sens du terme) et évidemment les gens ne sont pas très très contents. Je sais que je pourrais utiliser plus de virgules, mais je ne le fais pas.

"kikoo !"

Ce film a été une incompréhension totale pour moi. Déjà le début j'ai pas compris, mais je pense que c'est fait exprès, ensuite j'ai pas compris qui était qui, où, quand, quoi ou comment et le pire c'est que je n'en avais rien à foutre vu le niveau d'emmerditude que j'avais atteint.

Oui lecteur, je me suis fait chier à un point rarement atteint. L'histoire est bonne pourtant et puis c'est du Romero quoi, mais là, j'étais pas dedans. Par contre j'ai bien aimé la musique et le flic à moustaches (j'adore les moustaches) et puis la cerise sur le Macdo, le scientifique est le sosie officiel du connard chez qui je bossais quand j'étais jeune fille au pair et ça m'a fait froid dans le dos.

Donc voilà une chronique express pour un film que j'ai vu en accéléré justement. Maintenant, vous pouvez me jeter vos cailloux.

4 commentaires:

  1. Si tu l'as vu en accéléré, je comprends donc pourquoi c'est devenu incompréhensible pour toi ;-)

    Mais je suis d'accord que l'original est moins rythmé que le remake récent que j'ai adoré. Par contre, contrairement au remake on voit plus les tentatives des miliaires.

    Enfin bon, je respecte tout à fait le fait que tu n'ais pas aimé donc je ne vais pas te jeter de cailloux. Au moins, ça nous aura permis de savoir que tu aimes les moustaches ^^

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  2. Le remake a l'air sympa, ceci dit...
    Et ceci dit, j'y connais rien alors je dis rien.

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  3. Je suspecte ta déclaration de l'amour pour la moustache comme une tentative pour rameuter tous les pervers du coin par ici tel le meilleur mot clé pour avoir bientôt un paquet de lecteurs bien louches.

    Sinon,je me tenterai bien au remake aussi si ma vidéothèque n'a pas crevé d'ici là, parce que dedans il y a Radha Mitchell, et ça c'est bien,quand même.

    En ce qui concerne Romero au risque de bafouer un grand nom, j'ai toujours trouvé ça soporifique.
    Sauf à ses débuts ou au moins on pouvait se marrer un coup sur l'utilisation de la farine comme accessoire de maquillage pour un rendu parfaitement ridicule d'un mort vivant.

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  4. Alors puisque le coup des moustaches à l'air de vous perturber, je vais élucider le mystère : oui, j'aime bien les moustaches, mais pas les grosses dégueulasses jaunies par la clope ou celles qui rebiquent, hein. C'est tellement rare un homme moustachu et distingué de nos jours...

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